C'était trop beau cette manif pour être vite raconté ! Et que d'esprits et de talents contre la beaufitude et la chiennerie ! Et de paris XII créteil, prof(e)s et étudiant(e)s : l'énergie, la rectitude, la précision.
Tous les gens et jeannes, jeunes et vie(illes)ux m'on fait penser tout le long du trajet et à chaque épisode-délégation à ma feue prof oubliée de tous, celle qui m'a dit un jour "vas-y puisque toutes les suites sont incalculables" !
Le ton ? Le voici ! C'est un sosie du grain de la voix et du sel du message et presque un sosie du visage, c'est roland barthes en femme ashkénaze et arabe ou kabyle, ma maman sociologue de Nanterre (excusez l'anecdote, etc), mais c'est presque-absolument-Elle, rimbaldique et rimbaldienne, l'amoureuse-née de tous les mandela de la terre, le mépris olympien et olympique de tous les petits bessons de la terre. Le sel quoi, sans passe-moi chérie le, etc ...
Donc en hommage à NICOLE EIZNER, auteure posthume de la manif pour Mandela, le sosie, le cours de (sa) vie éteinte en 2006 :
vendredi 19 mars 2010
Prélude à la chronique d'une belle et si prudente victoire
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